Affichage de 89–96 sur 265 résultats
- 
	 JAS 2337,00€SOMMAIRE DU N° DE JANVIER 2019ACTUALITÉS POLITIQUES5 – Édito6 – Le mois du social10 – Socialement indiscret14 – Dossier -Collision sociale, peut-on l’éviter ?20 – Fraternité – Développement durable22 – Invité du mois – Ghaleb Bencheikh, président de la Fondationde l’islam de France24 – Social sans frontières27 – Cahier spécial – Enquête Ecole et OrphelinsBONNES PRATIQUES36 – L’autonomie en actions – Séniors : vive les vacancesACTUALITÉ DES MÉTIERS38 – Décryptage – L’Ocirp : l’assurance d’une dimension sociale42 – Décryptage – Crise démocratique : la démonstration par les chiffres44 – Les coups de cœur du Jas50 – Agenda
- 
	 Ecole la révolution douce (232)3,00€De tout temps, l’école républicaine a eu le souci de développer le sens civique et l’esprit critique des enfants. Mais cette aspiration est aujourd’hui confrontée à de dures réalités issues de la détérioration du contexte économique et social, sans omettre de mentionner l’évolution de la structure familiale. Les enseignants ne peuvent plus faire face seuls à la désocialisation des enfants, à la précarisation de certaines familles, à la perte des repères collectifs et sociaux. C’est pourquoi, depuis plusieurs années, on s’efforce de compléter l’enseignement d’activités éducatives aptes à transmettre les valeurs du bien commun. Mais si l’on veut aller encore plus loin pour faire de l’école un véritable laboratoire de l’engagement civique et du vivre ensemble, encore faut-il savoir en faire un espace de plus en plus ouvert sur son environnement. 
- 
	 JAS 2327,00€SOMMAIRE DU N° DE DECEMBRE 2018ACTUALITÉS POLITIQUES5 – Édito6 – Le mois du social10 – Socialement indiscret14 – Dossier – Ecole, la révolution douce20 – Fraternité – Développement durable22 – Invité du mois – Christophe Guilluy, géographe24 – Social sans frontières27 – Cahier spécialSoutien aux personnes âgées immigrées /Recueil de bonnes pratiquesBONNES PRATIQUES36 – L’autonomie en actions – Pour que retraite rime avec InternetACTUALITÉ DES MÉTIERS39 – Décryptage – Profils et parcours d’allocataires du RSA en Loire-Atlantique44 – Tribune14-18 : Dieu que la guerre était belle !, par Yves Faucoup46 – Les coups de cœur du Jas50 – Agenda
- 
	 Pas de République sans les maires ! (231)3,00€Lors du congrès national de l’Association des maires ruraux de France (AMRF), le 23 septembre dernier, s’est exprimé comme jamais un grand malaise sur les réformes engagées en direction des élus locaux. Tous les attributs de la fonction de maire semblent remis en question. Ceux-ci n’ont plus le choix de leurs territoires d’action, puisqu’on leur impose à travers la loi NOTRe des intercommunalités autoritaires, bâties sur des critères économiques fort éloignés de la réalité humaine. Ils n’ont plus d’autonomie fiscale. Et la suppression de la taxe d’habitation s’avère lourde de conséquences sur le maintien d’un rapport étroit entre les habitants et les élus locaux. Ils n’ont plus le choix de leurs projets, puisqu’on les contraint à rester dans des enveloppes financières décidées par l’êtat. La gravité de la situation a donc conduit Le Jas à aller sur le terrain, rencontrer des maires de l’Allier, un maire des Bouches-du-Rhône et le président de l’Association des maires ruraux de France (AMRF). Dans ces trois cas, on entrevoit la même crainte : celle de l’affaiblissement de la République, car ce sont bien les maires qui expriment concrètement et quotidiennement la conception la plus noble de la politique. 
- 
	 Jas 2317,00€SOMMAIRE DU N° DE NOVEMBRE 2018ACTUALITÉS POLITIQUES5 – Édito6 – Le mois du social10 – Socialement indiscret13 – Dossier – Fraternité : le temps de l’action20 – Fraternité – Développement durable22 – Invité du mois – Julien Damon, professeur à Sciences Po24 – Social sans frontières27 – Cahier spécial – Pas de République sans les maires !BONNES PRATIQUES36 – L’autonomie en actions – L’Assurance Retraite expérimente les contrats
 de territoire avec ECLATACTUALITÉ DES MÉTIERS39 – Décryptage – Aide aux aidants. Bulle d’air gagne du terrain
 44 – Les coups de cœur du Jas
 46 – Annonces emplois
 50 – Agenda
- 
	 PAS DE RÉPUBLIQUE SANS LES MAIRES! (231)3,00€Lors du congrès national de l’Association des maires ruraux de France (AMRF), le 23 septembre dernier, s’est exprimé comme jamais un grand malaise sur les réformes engagées en direction des élus locaux. Tous les attributs de la fonction de maire semblent remis en question. Ceux-ci n’ont plus le choix de leurs territoires d’action, puisqu’on leur impose à travers la loi NOTRe des intercommunalités autoritaires, bâties sur des critères économiques fort éloignés de la réalité humaine. Ils n’ont plus d’autonomie fiscale. Et la suppression de la taxe d’habitation s’avère lourde de conséquences sur le maintien d’un rapport étroit entre les habitants et les élus locaux. Ils n’ont plus le choix de leurs projets, puisqu’on les contraint à rester dans des enveloppes financières décidées par l’Êtat. La gravité de la situation a donc conduit Le Jas à aller sur le terrain, rencontrer des maires de l’Allier, un maire des Bouches-du-Rhône et le président de l’Association des maires ruraux de France (AMRF). Dans ces trois cas, on entrevoit la même crainte : celle de l’affaiblissement de la République, car ce sont bien les maires qui expriment concrètement et quotidiennement la conception la plus noble de la politique. 
- 
	 BONNE PRATIQUE 2303,00€Adages : de l’utopie à la réalité PAR ISADORA SANCHEZ On sait que la réforme sociale et médicosociale a tendance, ces dernières années, à trop normer au détriment du sens. Fort heureusement, des espaces de résistance se multiplient pour humaniser le plus possible l’accompagnement social. C’est ainsi que l’utopie a pris forme à Montpellier au foyer d’accueil médicalisé les Fontaines-d’Ô. Créé en 2002 au sein de l’Adages (voir encadré), le foyer d’accueil médicalisé (FAM) les Fontaines-d’Ô est un établissement spécialisé dans l’accueil et l’accompagnement de personnes de 20 à 60 ans ayant été victimes d’un traumatisme crânoencéphalique ou de lésions cérébrales acquises. Il dispose de 38 places en hébergement permanent, 3 places en hébergement temporaire de 90 jours par an (places transitoires avant un hébergement permanent qui permettent une évaluation des séquelles, de l’autonomie, un suivi de préconisations) et enfin de 6 places en accueil de jour. L’équipe dirigeante et son personnel concourent à la recherche effective de la plus grande autonomie possible de leurs publics par le biais d’une prise en charge médico-psychologique, paramédicale et éducative très personnalisée. Concrètement, cette prise en charge s’articule entre des moments de soins d’hygiène, médicaux, paramédicaux et psychologiques et des temps d’activités artistiques, sportives et de loisirs. Des outils sont mis en place au cas par cas pour participer à la rééducation, mais aussi – pour ceux qui le souhaitent et le peuvent – à reprendre une vie professionnelle et sociale normale (…) 
- 
	 DOSSIER 2303,00€Radicalisation comprendre pour agir PAR OLIVIER VAN CAEMERBÈKE Des comportements défiant la laïcité laissent craindre une radicalisation à caractère islamiste de la part des jeunes, et parfois très jeunes, Français. Une réalité qu’il faut regarder en face sans pour autant verser dans une lecture qui prêterait le flanc aux amalgames caricaturaux et stigmatisants. D’autant que les motivations de jeunes en voie de radicalisation répondent à des contextes et des logiques diverses. Cela nécessite donc un panel de réponses qui vont de la fermeté la plus stricte sur nos valeurs républicaines jusqu’à l’accompagnement social, certains de ces jeunes apparaissant d’abord “en danger” avant d’être “dangereux.” Ce 9 octobre, Europe 1 révélait le contenu d’une note “ultraconfidentielle” des services de renseignement des cas de “communautarisme musulman” dans les établissements scolaires. Le document évoque des enfants qui refusent de dessiner des représentations humaines, qui se bouchent les oreilles lorsque de la musique est diffusée en classe, des garçons qui refusent de donner la main aux petites filles ou d’autres qui refusent d’aller à la piscine de peur de “boire la tasse” et de casser leur jeûne. Deux jours plus tard, c’était le ministère de l’Éducation nationale qui annonçait le chiffre d’un millier de cas d’atteintes à la laïcité signalés entre avril et juin derniers dans les établissements scolaires. Pointés par le ministère : des ports de signes et tenues à caractère religieux, des contestations d’enseignement ou encore du prosélytisme religieux. Là aussi, la nature des faits et leurs gravités sont hétérogènes. Ainsi 600 cas n’ont pas nécessité l’intervention des coordonnateurs des équipes “laïcité et fait religieux (…) 
