Numéros (en PDF)

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  • Collision sociale : Peut-on l’éviter ? (233)

    3,00

    Depuis maintenant près de trois mois, des dizaines de milliers de Français manifestent un peu partout en France, sans que l’on sache très bien quelles en seront les conséquences. En revanche, ce qui est certain c’est que ce mouvement s’inscrit dans une alarmante crise de confiance envers toutes les institutions, et au-delà envers notre modèle démocratique, qui est mise en évidence par les enquêtes les plus récentes. Nous sommes bien confrontés à un tsunami démocratique sans précédent, qui a contraint le président de la République à lancer un vaste débat national. Le Journal des acteurs sociaux a voulu apporter son analyse et sa contribution, en rappelant les données les plus importants de la crise (voir Décryptage, pages 42-43).

     

  • JAS 233

    7,00
    SOMMAIRE DU N° DE JANVIER 2019

     

    ACTUALITÉS POLITIQUES
    5 – Édito
    6 – Le mois du social
    10 – Socialement indiscret
    14 – Dossier -Collision sociale, peut-on l’éviter ?
    20 – Fraternité – Développement durable
    22 – Invité du mois – Ghaleb Bencheikh, président de la Fondation
    de l’islam de France
    24 – Social sans frontières

     

    27 – Cahier spécial – Enquête Ecole et Orphelins

     

    BONNES PRATIQUES
    36 – L’autonomie en actions – Séniors : vive les vacances

     

    ACTUALITÉ DES MÉTIERS
    38 – Décryptage – L’Ocirp : l’assurance d’une dimension sociale
    42 – Décryptage – Crise démocratique : la démonstration par les chiffres
    44 – Les coups de cœur du Jas
    50 – Agenda

     

  • Ecole la révolution douce (232)

    3,00

    De tout temps, l’école républicaine a eu le souci de développer le sens civique et l’esprit critique des enfants. Mais cette aspiration est aujourd’hui confrontée à de dures réalités issues de la détérioration du contexte économique et social, sans omettre de mentionner l’évolution de la structure familiale. Les enseignants ne peuvent plus faire face seuls à la désocialisation des enfants, à la précarisation de certaines familles, à la perte des repères collectifs et sociaux. C’est pourquoi, depuis plusieurs années, on s’efforce de compléter l’enseignement d’activités éducatives aptes à transmettre les valeurs du bien commun. Mais si l’on veut aller encore plus loin pour faire de l’école un véritable laboratoire de l’engagement civique et du vivre ensemble, encore faut-il savoir en faire un espace de plus en plus ouvert sur son environnement.

  • JAS 232

    7,00
    SOMMAIRE DU N° DE DECEMBRE 2018

     

    ACTUALITÉS POLITIQUES

     

    5 – Édito
    6 – Le mois du social
    10 – Socialement indiscret
    14 – Dossier – Ecole, la révolution douce
    20 – Fraternité – Développement durable
    22 – Invité du mois – Christophe Guilluy, géographe
    24 – Social sans frontières

     

    27 – Cahier spécial 
    Soutien aux personnes âgées immigrées /Recueil de bonnes pratiques

     

    BONNES PRATIQUES
    36 – L’autonomie en actions – Pour que retraite rime avec Internet

     

    ACTUALITÉ DES MÉTIERS
    39 – Décryptage – Profils et parcours d’allocataires du RSA en Loire-Atlantique
    44 – Tribune
    14-18 : Dieu que la guerre était belle !, par Yves Faucoup
    46 – Les coups de cœur du Jas
    50 – Agenda

     

  • Pas de République sans les maires ! (231)

    3,00

    Lors du congrès national de l’Association des maires ruraux de France (AMRF), le 23 septembre dernier, s’est exprimé comme jamais un grand malaise sur les réformes engagées en direction des élus locaux. Tous les attributs de la fonction de maire semblent remis en question. Ceux-ci n’ont plus le choix de leurs territoires d’action, puisqu’on leur impose à travers la loi NOTRe des intercommunalités autoritaires, bâties sur des critères économiques fort éloignés de la réalité humaine. Ils n’ont plus d’autonomie fiscale. Et la suppression de la taxe d’habitation s’avère lourde de conséquences sur le maintien d’un rapport étroit entre les habitants et les élus locaux. Ils n’ont plus le choix de leurs projets, puisqu’on les contraint à rester dans des enveloppes financières décidées par l’êtat. La gravité de la situation a donc conduit Le Jas à aller sur le terrain, rencontrer des maires de l’Allier, un maire des Bouches-du-Rhône et le président de l’Association des maires ruraux de France (AMRF). Dans ces trois cas, on entrevoit la même crainte : celle de l’affaiblissement de la République, car ce sont bien les maires qui expriment concrètement et quotidiennement la conception la plus noble de la politique.

     

  • Jas 231

    7,00
    SOMMAIRE DU N° DE NOVEMBRE 2018

     

    ACTUALITÉS POLITIQUES
    5 – Édito
    6 – Le mois du social
    10 – Socialement indiscret
    13 – Dossier – Fraternité : le temps de l’action
    20 – Fraternité – Développement durable
    22 – Invité du mois –  Julien Damon, professeur à Sciences Po
    24 – Social sans frontières
    27 – Cahier spécial – Pas de République sans les maires !

     

    BONNES PRATIQUES
    36 – L’autonomie en actions – L’Assurance Retraite expérimente les contrats
    de territoire avec ECLAT

     

    ACTUALITÉ DES MÉTIERS
    39 – Décryptage – Aide aux aidants. Bulle d’air gagne du terrain
    44 – Les coups de cœur du Jas
    46 – Annonces emplois
    50 – Agenda

     

  • PAS DE RÉPUBLIQUE SANS LES MAIRES! (231)

    3,00

    Lors du congrès national de l’Association des maires ruraux de France (AMRF), le 23 septembre dernier, s’est exprimé comme jamais un grand malaise sur les réformes engagées en direction des élus locaux. Tous les attributs de la fonction de maire semblent remis en question. Ceux-ci n’ont plus le choix de leurs territoires d’action, puisqu’on leur impose à travers la loi NOTRe des intercommunalités autoritaires, bâties sur des critères économiques fort éloignés de la réalité humaine. Ils n’ont plus d’autonomie fiscale. Et la suppression de la taxe d’habitation s’avère lourde de conséquences sur le maintien d’un rapport étroit entre les habitants et les élus locaux. Ils n’ont plus le choix de leurs projets, puisqu’on les contraint à rester dans des enveloppes financières décidées par l’Êtat. La gravité de la situation a donc conduit Le Jas à aller sur le terrain, rencontrer des maires de l’Allier, un maire des Bouches-du-Rhône et le président de l’Association des maires ruraux de France (AMRF). Dans ces trois cas, on entrevoit la même crainte : celle de l’affaiblissement de la République, car ce sont bien les maires qui expriment concrètement et quotidiennement la conception la plus noble de la politique.

     

  • BONNE PRATIQUE 230

    3,00

    Adages : de l’utopie à la réalité

    PAR ISADORA SANCHEZ

    On sait que la réforme sociale et médicosociale a tendance, ces dernières années, à trop normer au détriment du sens. Fort heureusement, des espaces de résistance se multiplient pour humaniser le plus possible l’accompagnement social. C’est ainsi que l’utopie a pris forme à Montpellier au foyer d’accueil médicalisé les Fontaines-d’Ô.

    Créé en 2002 au sein de l’Adages (voir encadré), le foyer d’accueil médicalisé (FAM) les Fontaines-d’Ô est un établissement spécialisé dans l’accueil et l’accompagnement de personnes de 20 à 60 ans ayant été victimes d’un traumatisme crânoencéphalique ou de lésions cérébrales acquises. Il dispose de 38 places en hébergement permanent, 3 places en hébergement temporaire de 90 jours par an (places transitoires avant un hébergement permanent qui permettent une évaluation des séquelles, de l’autonomie, un suivi de préconisations) et enfin de 6 places en accueil de jour. L’équipe dirigeante et son personnel concourent à la recherche effective de la plus grande autonomie possible de leurs publics par le biais d’une prise en charge médico-psychologique, paramédicale et éducative très personnalisée. Concrètement, cette prise en charge s’articule entre des moments de soins d’hygiène, médicaux, paramédicaux et psychologiques et des temps d’activités artistiques, sportives et de loisirs. Des outils sont mis en place au cas par cas pour participer à la rééducation, mais aussi – pour ceux qui le souhaitent et le peuvent – à reprendre une vie professionnelle et sociale normale (…)